Je me sentais plus que marginal dans la file d’attente du cinéma Guzzo. Alors que tous les adolescents s’étaient donné rendez-vous pour assister à la première du troisième Twilight, j’allais de mon côté me taper Le baiser du barbu, deuxième film d’Yves Pelletier.
L’histoire de pilosité faciale de l’ex RBO est originale et très intéressante, mais assez mal développée en plus d’être racontée par des acteurs au talent discutable et à la crédibilité vacillante ; bonjour Ricardo Trogi.
Je ris souvent de mes amis qui s’endorment au cinéma. Hier soir, il y avait un peu de bave tiède sur ma manche.